Hey ! Toi qui prends le temps de me lire aujourd’hui, j’espère que ça va bien pour toi. J’avais envie d’écrire un article plus « personnel » depuis un bout de temps, mais je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais pris le temps de le faire (un peu d’appréhension je pense). Je dis toujours que j’ai envie de me lancer dans de nouveaux projets, je rêverais d’enregistrer mon propre podcast (j’en écoute tous les jours et ça me met vraiment dans une bulle de confort et d’inspiration), j’aimerais aussi lancer ma chaîne Youtube, ce sont des idées qui me plaisent vraiment mais j’ai comme une sorte de blocage et je n’arrive pas à me lancer et ça m’énerve (et il faut trouver le temps aussi mais je pense que l’on trouve toujours le temps quand on en a vraiment envie).
Hey, you who are taking the time to read me today, I hope you’re doing well. I’ve been wanting to write a more “personal” post for a while, but I don’t know why I never took the time to do it (a bit of apprehension I guess). I always say that I want to start new projects, I would like to record my own podcast (I listen to it every day and it really puts me in a bubble of comfort and inspiration), I would also like to start my own Youtube channel, these are ideas that I really like but I have a kind of block and I can’t get started and it annoys me (and you have to find the time too but I think you always find the time when you really want to).

Enfin bref, cet article n’a pas de « but » en particulier, ces derniers temps je trouvais que mes articles étaient un peu trop « formatés » et ne délivrait plus grand chose de personnel, et j’avais envie de revenir aux sources, ce pourquoi j’ai eu envie d’écrire un blog à la base, un moyen d’écrire mes pensées et de parler à quelqu’un à l’extérieur qui me comprenne et qui peut-être ressent la même chose. Comment vous dire ? J’ai récemment fêté mes 29 ans (au mois de Novembre), je suis revenu vivre au Canada avec mon copain, j’ai trouvé un travail comme en deux jours dans une entreprise et pourtant, j’ai comme une petite voix dans ma tête qui me dit que je n’avance pas, que j’ai encore plein de désirs et de rêves non réalisés.
Anyway, this article doesn’t have any particular “goal”, lately I found that my articles were a bit too “formatted” and didn’t deliver much of anything personal anymore, and I wanted to get back to the basics, which is why I wanted to write a blog in the first place, a way to write down my thoughts and talk to someone outside who understands me and maybe feels the same way. How to tell you? I recently turned 29 (in November), I moved back to Canada with my boyfriend, I got a job like in two days in a company and yet, I have like a little voice in my head telling me that I’m not moving forward, that I still have a lot of unfulfilled wishes and dreams.

J’y pense comme ça et ça n’a pas beaucoup de rapport avec ce que j’écris plus haut mais on pourrait également se lancer dans une forme de blog plus interactif dans lequel vous pourriez me poser des questions et lancer la discussion sur le blog afin que mes articles traitent de sujets plus personnels et qui répondent à vos envies et interrogations. Je ne sais pas comment mettre ce format en place mais si vous avez des idées n’hésitez pas à le mettre en commentaire ou à m’envoyer un petit message sur mon Instagram, je réponds toujours aux messages avec grand plaisir !
I’m thinking about it like this and it doesn’t have much to do with what I write above but we could also go into a more interactive form of blogging where you can ask me questions and start the discussion on the blog so that my posts are about more personal topics that answer your desires and questions. I don’t know how to set up this format but if you have any ideas don’t hesitate to put it in the comments or send me a little message on my Instagram, I always answer messages with great pleasure!
Je réalise que quand j’ai commencé à écrire sur ce blog, cette plateforme était principalement suivie par ma famille et par mon entourage. Et puis j’ai commencé à gagner d’autres lecteurs, particulièrement aux États-Unis, en France et au Canada (selon les statistiques de mon blog en tout cas). Je ne me suis jamais officiellement présenté : je m’appelle Arthur, je viens de fêter mes 29 ans, je viens de France, et je vis depuis trois ans au Québec, à Montréal (Canada), avec une petite pause l’année dernière par la Belgique et par la France. J’ai fini mes études ici à Montréal et je travaille dans le marketing digital.
I realize that when I first started writing on this blog, this platform was mainly followed by my friends and my family. And then I started to gain other readers, especially in the US, France and Canada (according to my blog’s statistics anyway). I never officially introduced myself: my name is Arthur, I just turned 29, I’m from France, and I’ve been living in Quebec, in Montreal (Canada), for the last three years, with a little break last year through Belgium and France. I finished my studies here in Montreal and I work in digital marketing.

Récemment, j’ai accepté une proposition de travail dans un groupe de publicité à partir du mois de Janvier prochain. J’y occuperai un poste de planificateur média, c’est-à-dire que je conseillerai les clients sur les meilleures stratégies à adopter pour optimiser leur budget publicitaire. Ça n’a pas été facile d’annoncer à mon travail actuel que je partais pour de nouveaux horizons, mais je sentais que je ne pouvais pas passer à côté de cette opportunité et que je l’aurais regretté au final après quelques mois. Le temps nous dira si c’était la bonne décision j’imagine !
Recently, I accepted another job offer with an advertising group starting next January. I will be working as a media planner, advising clients on the best strategies to optimize their advertising budget. It was not easy to tell my current job that I was leaving for new horizons, but I felt that I could not miss this opportunity and that I would have regretted it after a few months. Time will tell if it was the right decision I guess!
Qu’est-ce que je fais dans mon job actuel ? Je programme des campagnes digitales pour des clients sur nos plateformes numériques, donc je fais un peu le même travail qu’un planificateur sauf que c’est moi qui programme les campagnes (je ne suis pas dans la planification). C’est ce qu’on appelle la programmatique dans le monde du digital.
What do I do in my current job? I program digital campaigns for clients on our digital platforms, so I do a lot of the same work as a media planner except that I program the campaigns (I’m not in the planning). It’s called programmatics in the digital world.

En dehors de ça, je sais qu’on traverse tous une période difficile avec les nouvelles restrictions sanitaires au Québec liées à la Covid 19. Donc on ne voit plus grand monde en ce moment et c’est d’autant plus difficile quand il fait nuit très tôt et que nous avons passé la journée en télétravail. Ça me donne cette impression que nous ne sortons jamais de la maison, que c’est là que se passe toute notre vie. C’est d’ailleurs un peu le cas les jours où nous travaillons depuis la maison. Mais à chaque fois je force mon copain à aller marcher après le boulot, qu’il neige ou qu’il vente ! 😂 Au mois de Janvier j’aimerais aussi aller à la salle de gym.
Other than that, I know we’re all going through a difficult time with the new health restrictions in Quebec related to Covid 19. So we don’t see a lot of people right now and it’s even more difficult when it’s getting dark early and we’ve been working from home all day. It gives me that feeling that we never leave the house, that that’s where our whole life is. That’s actually kind of the case on days like that. But every time I force my boyfriend to go for a walk after work, rain or shine I don’t care! 😂 I I would also like to go to the gym in January.
Je voudrais aussi rencontrer plus de monde sur Montréal. Je suis beaucoup d’entre vous sur les réseaux sociaux mais je me dis que ce serait pas mal de se rencontrer dans la vraie vie, malgré les nouvelles mesures sanitaires qui s’en viennent. En dehors de ça, je vous avoue que je ne fais pas non plus beaucoup d’efforts puisque je suis sur un groupe Facebook d’expats français depuis deux mois et que j’ai du écrire deux messages en tout et pour tout.
I would also like to meet more people in Montreal. I follow many of you on social networks but I think it would be nice to meet in real life, despite the new sanitary measures that are coming. Apart from that, I must admit that I’m not making much of an effort either since I’ve been on a French expat Facebook group for two months and I’ve written two posts in all.
La France (l’Europe) me manque un petit peu aussi (mais ça, c’est pas nouveau). Ce qui me manque le plus c’est la possibilité de pouvoir prendre un train n’importe quand pour pouvoir me déplacer n’importe où, n’importe quand. Ici ce n’est pas la même chose, il ya moins de transports publics et les distances sont plus longues. Vu qu’on ne bouge pas pendant les vacances de Noël j’espère qu’on va en profiter pour faire des petits road-trips et bouger un peu de Montréal.
I miss France (Europe) a little bit too (but that’s not new). What I miss the most is the possibility to take a train anytime to be able to move anywhere, anytime. Here it’s not the same, there is less public transport and the distances are longer. As we don’t move during the Christmas vacation I hope that we will take advantage of it to make small road-trips and to move a little bit from Montreal.

Mais enfin assez parlé de ma vie personnelle et comme je n’ai pas de sujet précis pour cet article j’ai décidé de le diviser en deux petites thématiques qui pourraient éventuellement vous intéresser.
I decided to divide this blogpost into two small themes that might interest you.
- La peur d’être jugé au travail – The fear to be judged at work
Un sujet que je voulais vous partager aujourd’hui est la peur d’être jugé au travail (ou de manière générale dans la vie de tous les jours) : comment se détacher du regard des autres ? De se défaire de la peur de ne pas être à la hauteur, même vis-à-vis de soi. Cette peur du rejet d’autrui provient sûrement d’une peur personnelle plus ou moins rationnelle, qui peut certainement entraîner des blocages dans l’environnement personnel et professionnel à la fois.
A topic I wanted to share with you today is the fear of being judged at work (or in general in everyday life): how to get away from the gaze of others? To get rid of the fear of not being good enough, even towards yourself. This fear of being rejected by others surely comes from a more or less rational personal fear, which can certainly lead to blockages in both the personal and professional environment.

Comment expliquer ce phénomène complexe ? Notre cerveau comporte généralement trois types de pensées : « Ce que je pense de moi », « ce que je pense des autres » et enfin, « ce que pensent les autres de moi ». C’est cette dernière pensée qui impacte directement sur la confiance en soi et qui peut parfois, dans les cas les plus extrêmes, entraîner des blocages. Le plus souvent, cela impacte directement sur l’estime de soi et le manque de confiance en ses capacités et compétences.
How can we explain this complex phenomenon? Our brain generally has three types of thoughts: “What I think of myself”, “What I think of others” and finally, “What others think of me”. It is this last thought that has a direct impact on self-confidence and that can sometimes, in the most extreme cases, lead to blockages. More often than not, this has a direct impact on self-esteem and the lack of confidence in one’s abilities and skills.
Au travail, la peur de pas être apprécié.e, de ne pas être accepté.e ou de ne pas être appartenir à un groupe est intensifié par un impératif de performance vu qu’on entre alors dans la sphère professionnelle (donc plus délicat que dans la sphère personnelle dans laquelle on est facilement plus libres d’être soi-mêmes). Certains spécialistes parlent alors d’«anxiété performative » (Albert Moukheiber). Cette anxiété peut prendre différentes formes face à la peur du jugement d’autrui au travail.
At work, the fear of not being appreciated, of not being accepted or of not belonging to a group is intensified by the imperative of performance, given that we are entering the professional sphere (which is therefore more delicate than the personal sphere, where we are easily more free to be ourselves). Some specialists speak of “performance anxiety” (Albert Moukheiber). This anxiety can take different forms when faced with the fear of judgment from others at work.

Elle peut se traduire par différents facteurs : on peut déléguer ses tâches ou compter sur les autres en permanence (je sais que j’avais beaucoup d’anxiété lors de mon premier travail à cause de ma relation avec une collègue et puis finalement j’ai passé le cap). On peut annuler des entretiens d’embauche (puis rappeler pour dire que finalement on veut se rendre à l’entretien 😂). On peut aussi « brider » ses compétences par des micro-actions qui vont se traduire au quotidien comme en se dévalorisant en permanence.
It can come in a variety of ways: we can delegate tasks or rely on others all the time (I know I had a lot of anxiety during my first job because of my relationship with a colleague and then I finally got over it). We can cancel job interviews (then call back to say we want to go to the interview after all 😂). We can also “curb” our skills through micro actions that will translate into daily life like constantly devaluing ourselves.
2. L’ère du digital : est-on en train de perdre un peu de notre humanité ? The digital age: are we losing some of our humanity?
Un autre sujet dont je voulais vous parler aujourd’hui (oui je vous l’avais dit, il n’y a pas de règles pour cet article !), est plus complexe à formuler pour que l’on comprenne mon propos : je m’interroge sur le fait que nos interactions (dans le monde du digital surtout) sont de plus en plus brèves (comme par exemple réagir à une story) ou bien, si c’est une vraie conversation, comment celle-ci peut se prolonger sur des semaines (parfois des mois) puisque l’on n’est plus dans l’instantanéité. Est sous-entendue cette sorte d’excuse implicite et acceptée qu’on « a une vie bien remplie » et donc que l’on « donne de son temps » à la personne avec laquelle on intéragit (je ne sais pas si cela fait sens mais c’est une sorte de discussion en dégradé pour être plus clair).
Another topic I wanted to talk about today (yes I told you, there are no rules for this article!) is more complex to formulate so that people understand my point: I wonder about the fact that our interactions (especially in the digital world) are increasingly brief (such as reacting to a story) or, if it’s a real conversation, how it can extend over weeks (sometimes months) since it is not instantaneous anymore. There is an implied and implicit accepted excuse that one “has a busy life” and therefore one “gives of one’s time” to the person one is interacting with (I don’t know if this makes sense but it is a sort of gradient discussion to make more sense).

Dans un article du journal The Atlantic, la journaliste Julie Back insiste sur le fait que les messages numériques (réseaux, SMS, Messenger) imitent la vitesse d’une vraie conversation, mais souvent, ce qui ce produit a l’effet inverse, c’est-à-dire que l’on prend de plus en plus de temps pour répondre (alors que ces nouveaux outils sous-entendent une réaction immédiate). La journaliste essaie de s’intéresser et de comprendre comment les gens (surtout les milléniaux) fonctionnent aujourd’hui. Est-ce que ces nouveaux moyens de communication ne nous font pas perdre un peu d’humanité et est-ce que nos interactions réelles en sont affectées dans la vraie vie ?
In an article in The Atlantic, journalist Julie Back insists that digital messages (networks, SMS, Messenger) mimic the speed of a real conversation, but often what happens is that it takes longer and longer to respond (when these new tools imply an immediate reaction). The journalist tries to understand how people (especially millennials) function today. Don’t these new means of communication make us lose some of our humanity and do they affect our real life interactions?
S’il ne faut pas plus de 200 millisecondes pour composer et répondre à un texte (ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle la messagerie instantanée), j’ai l’impression qu’il est d’usage aujourd’hui de sous-entendre que tout message que vous envoyez peut recevoir une réponse plus ou moins immédiate. Je ne sais pas pour vous, mais les deux extrêmes me stressent beaucoup dans les deux cas : je n’aime pas devoir répondre directement parce que j’ai l’impression de donner mon temps directement à la personne. À l’inverse, le fait d’attendre plusieurs semaines m’angoisse beaucoup et me fait perdre mon intérêt pour la conversation en question. Alors que finalement, on ne se pose jamais ce genre de questions « dans la vraie vie » si je peux dire.
While it doesn’t take more than 200 milliseconds to compose and reply to a text (it’s not called instant messaging for nothing), I feel like it’s common practice nowadays to imply that any message you send can be replied to more or less immediately. I don’t know about you, but both extremes stress me out a lot in both cases: I don’t like being answered (0r have to answer) directly because I feel like I’m giving my time directly to the person. On the other hand, waiting several weeks makes me very anxious and loses interest in the conversation at hand. Whereas finally, we never ask ourselves these kinds of questions “in real life” if I may say so.

« Vous créez un environnement dans lequel les gens ont l’impression qu’on peut leur répondre instantanément, mais ils ne le font pas. Cette situation est source d’anxiété », explique Sherry Turkle, directrice de l’Initiative on Technology and Self au Massachusetts Institute of Technology (je cite directement l’article que je traduis en français pour cet exemple).
“You create for people an environment where they feel as though they could be responded to instantaneously, and then people don’t do that. And that just has anxiety all over it,” says Sherry Turkle, the director of the Initiative on Technology and Self at the Massachusetts Institute of Technology. (I directly quote the writer of the article here, ndlr).
Parfois, les gens ne répondent pas pour signaler délibérément qu’ils sont ennuyés, ou qu’ils ne veulent pas poursuivre la relation. Selon Turkle, le fait de prendre beaucoup de temps pour répondre est parfois un moyen d’asseoir sa domination dans une relation, en donnant l’impression d’être trop occupé et trop important pour répondre (source). Je ne pense pas que la plupart des gens pensent comme ça (certains peut-être). Je pense juste qu’il y a un désengagement – désintérêt de la personne lorsqu’on est dans la shère du digital, peut-être parce que ça ne fait pas assez « coupure » avec la sphère professionnelle (qui est de plus en plus digitale elle aussi).
Sometimes people don’t respond as a deliberate signal that they are bored, or that they don’t want to continue the relationship. According to Turkle, taking a long time to respond is sometimes a way to establish dominance in a relationship, by making it seem like you are too busy and important to respond (source). I don’t think most people feel this way (some may do). I just think that there is a disengagement – indifference of the person when one is in the digital sphere, perhaps because it does not make such a difference with the professional sphere (which is also more and more digital).

Et voilà, je vais arrêter d’écrire pour aujourd’hui parce que je sens que j’ai à peu près parlé de ce que je voulais dire, je pense que j’ai envie de nouvelles choses en permanence mais que c’est parfois difficile de se lancer dans des projets. Dans tous les cas, je te remercie d’avoir pris le temps de me lire si tu es arrivé.e jusqu’à cette partie de cet article. Je pense que ça me fait toujours du bien de partager mes petites pensées personnelles ici sur le blog comme dans un journal intime (même si je sais que ça n’a rien d’intime comme conversation 😂). Je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes et plein de bonnes choses pour la suite. Je vous embrasse. Votre dévoué Artyfixe.
I think that’s it for today, I’m going to stop writing for today because I feel like I’ve pretty much said what I wanted to say, I think I want new things all the time but sometimes it’s hard to get started on projects. Anyway, thank you for taking the time to read me if you made it to this part of the article. I think it always feels good to share my personal thoughts here on the blog like a diary (even though I know it’s not an intimate conversation 😂). I wish you all a very happy holiday and lots of good things to come. Love to you all. Sincerely yours, Artyfixe.
Très intéressant comme article, merci ! 🙂 Je partage totalement ton point de vue vis-à-vis du fait qu’on perd de plus en plus notre humanité à l’ère du digital. Peut être que tu pourrais approfondir le sujet dans un autre article, avec les réseaux sociaux, etc. 😀
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Hello A! (Oui, je viens d’aller faire un tour sur ton blog ! 😊 Merci beaucoup pour ton message, et je trouve l’idée des réseaux sociaux super intéressante (même si je n’arrive pas à m’en détacher malheureusement ! 😂 Mais c’est une super bonne idée d’article, merci !
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Haha, de rien! Je me ferais un plaisir de le lire en tout cas si tu l’écris 😀
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